SEAT SKODA VOLKSWAGEN Tressol-Chabrier -
  • Accueil
  • CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE
  • CHEZ CUPRA
  • CHEZ SEAT
  • CHEZ SKODA
  • CHEZ VOLKSWAGEN
Accueil
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE
CHEZ CUPRA
CHEZ SEAT
CHEZ SKODA
CHEZ VOLKSWAGEN
  • Accueil
  • CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE
  • CHEZ CUPRA
  • CHEZ SEAT
  • CHEZ SKODA
  • CHEZ VOLKSWAGEN
SEAT SKODA VOLKSWAGEN Tressol-Chabrier -
CHEZ VOLKSWAGEN

Essai Volkswagen Golf 8 GTD (2021) : grand écart entre sportivité et soif mesurée

Comme pour chaque génération, la Volkswagen Golf huitième du nom a le droit à sa déclinaison GTD… une GTI mazoutée en somme. Celle-ci a toujours voulu joindre les deux bouts entre sportivité et consommation raisonnable, mais le défi est-il réussi une nouvelle fois ?

L’électrique est omniprésent chez Volkswagen : ID.3, ID.4, ID.6… Le groupe allemand met le paquet sur les modèles « zéro émissions », y compris chez les autres marques. Mais il y a encore un peu de place pour des modèles très sportifs (version R), pour ceux qui le sont un peu moins (GTI), et même pour des Diesel sportifs. En même temps, la Golf GTD est née en 1982 avec à l’époque un moteur de 70 chevaux, alors ce n’est pas quelques normes européennes qui vont avoir raison de cette version tant appréciée.

Mais pour cette huitième génération, la Golf GTD cache sous son capot une toute autre mécanique. Cette fois, c’est un quatre cylindres 2,0 TDI qui développe 200 chevaux et 400 Nm de couple. C’est 45 chevaux de moins que ses soeurs hybride rechargeable et 100% essence, les Golf GTE et GTI, mais cela pourrait certainement lui permettre de gagner sur le plan de la consommation. D’autant plus qu’en buvant du gasoil, cette Golf GTD a de la force et rivalise avec la GTE en termes de couple.

N’oublions pas que la version hybride rechargeable sportive accuse quelques kilos supplémentaires à cause de son système électrique : 180 kg du surpoids pour la plus verdoyante des deux. L’écart avec la GTI est infime : seulement 2 kg de plus pour le mazout ! Finalement, ses plus grandes adversaires sont certainement ses jumelles.

[…]

Sportivité digne des lettres « GT »

Au volant, pas de doute, on est bien dans une Golf. On retrouve le même habitacle que dans ses sœurs à motorisations essence. Le système d’info-divertissement est identique, seul l’affichage derrière le volant dispose d’un mode dédié avec les lettres « GTD » comme la branche verticale du cerceau. Si j’avais été perturbé par l’ergonomie très « high-tech » de la nouvelle génération de Golf, cette nouvelle prise en main m’a presque réconcilié avec ce système. Finalement, on prend des repères et les raccourcis nous apportent la simplicité que l’on cherche pour les mouvements les plus basiques (musique, climatisation, mode de conduite). Il y a aussi les sièges à motifs à carreaux comme le veut la tradition.

En termes de comportement, les lettres « GT » ne sont pas volées. Le châssis est peut-être un peu neutre mais cela permet à cette version Diesel sportive de la Golf d’offrir un confort digne d’une bonne compacte, d’autant plus avec l’amortissement piloté réglable sur 10 positions (DCC :  910 euros). Un peu gadget sur le principe puisqu’il faudrait être un expert en la matière pour distinguer une différence entre chaque position, mais trois crans sont aisément différentiables : le plus sportif, le plus souple et l’intermédiaire. Ils permettent de faire varier de façon sensible l’amortissement et offrent la possibilité d’adapter le confort en fonction du rythme de conduite.

Le comportement peut ainsi être sportif à souhait et l’auto semble d’ailleurs rivée au sol. Mais on regrettera tout de même de ne pas avoir un petit côté « joueur ». La GTD vous emmènera avec plaisir dans de petits lacets mais si vous lui en demandez trop, c’est le train avant qui élargira la trajectoire… et sans prévenir. Pourtant, l’essieu avant s’avère précis et n’est pas avare de retour d’informations. Néanmoins, on aurait souhaité que la consistance de la direction puisse être plus dure, notamment en mode sport.

Petite fausse note néanmoins concernant la motricité. La puissance peine à passer au sol dans certains cas, y compris en essayant d’être doux sur l’accélérateur. D’ailleurs, Volkswagen l’a doté d’un système électronique capable de gérer le patinage. L’intervention de l’antipatinage est discrète et permet au moins un comportement plus joueur. En fait, le Driving Dynamics Manager coordonne les réactions du différentiel électronique, de l’ESP et de la suspension active et freine la roue intérieure au virage pour enrouler les courbes. Efficace dans ce cas, mais cela se fait au dépend des plaquettes de freins…

[…]

Source: https://cutt.ly/xbbvjV9

4 mai 2021par Justine Mercier
CHEZ SEAT

Seat Mo eScooter 125 : l’essai du premier scooter électrique de Seat

Pour son arrivée sur le marché du scooter électrique, Seat propose un produit sérieux et équivalent 125 cm3 […] Sa batterie amovible et facilement transportable est astucieuse pour les citadins.

Entité autonome dédiée aux nouvelles mobilités, à l’image de Mobilize chez Renault, Seat Mo est la troisième marque du constructeur espagnol aux côtés de Seat et Cupra. Jusqu’ici occupée avec des trottinettes électriques, Seat Mo s’attaque au marché du scooter électrique équivalent au 125 cm3, dans lequel elle voit un énorme potentiel : 188 000 unités en Europe en 2025 selon ses prévisions, contre 25 000 l’an passé. […] Ce sont en effet des modèles électriques équivalant à 50 cm3 qui constituent l’essentiel de l’offre, mais ces frêles scooters ne permettent pas d’emprunter les voies rapides autour des grandes villes.

La batterie du eScooter se recharge sur une prise 220 V en 6 à 8 heures. Le coffre de 39 litres embarque deux casques (intégral + jet).

Pour constituer son offre, Seat n’est pas allé très loin : son eScooter est en fait le S01 rebadgé de la marque Silence, un constructeur espagnol dont la R&D et la production sont localisées à Barcelone. Seat apporte simplement son grain de sel sur l’esthétique (coloris et logos) et sur la fiabilité de ce scooter qui loge son moteur électrique dans sa roue arrière. De visu, le modèle apparaît sérieux et le gabarit fait plus solide que celui des scooters électriques vu jusqu’ici (BMW mis à part). Sous la large selle, le Seat Mo n’oublie pas l’essentiel avec un coffre capable d’accueillir un casque intégral et un jet. Il complète son équipement avec deux prises USB et un crochet sur le tablier.

[…]

“Le eScooter 125 de Seat est facile à prendre en main et il n’a pas peur des voies rapides“

Nous avons pris en main le Seat Mo eScooter à Paris, où il trouve évidemment toute son aisance pour se faufiler dans la circulation. L’absence de bruit et de vibrations est agréable pour le scootériste habitué aux modèles thermiques. Quant à la vivacité, elle est surprenante au démarrage grâce aux 240 Nm de couple disponibles sans délai et à la puissance de 7 kW (9 kW max). On est installé droit avec les genoux à 90°, les pieds profitent d’une bonne place sur le petit plancher plat, et la conduite confirme le sérieux de ce scooter. La suspension est un peu ferme, mais le confort se révèle correct.

Offrant silence, performance et maniabilité, ce scooter est un régal en ville.

On note quelques bémols, comme les rétroviseurs trop petits pour offrir une bonne vision ou encore l’affichage étonnant du tableau de bord numérique, qui préfère indiquer en grand le niveau de batterie plutôt que la vitesse. L’inverse aurait été plus utile. Enfin, le freinage couplé pinçant les disques avant et arrière est certes rassurant mais il manque l’ABS, un équipement désormais répandu dans la catégorie en ce qui concerne les modèles thermiques.

Tout l’intérêt de ce scooter électrique est de sortir de la ville via les voies rapides ou l’autoroute pour rejoindre rapidement la banlieue (et pour Paris d’emprunter le périphérique). Et il le fait avec une certaine assurance. La vitesse maxi de 100 km/h au compteur (95 réels) s’atteint sans difficulté, et la stabilité est bonne grâce à la batterie de 41 kg installée en position basse au milieu du châssis. La protection au vent s’avère insuffisante sur le modèle testé, mais Seat propose en accessoire un pare-brise haut derrière lequel la partie supérieure du corps sera à l’abri des remous. Le Seat Mo dispose en outre de trois modes de conduite : Eco, City et Sport. Le mode City porte bien son nom avec une bonne fluidité pour une évolution en ville, alors que le mode Sport se montre plus nerveux. C’est avec lui que la vitesse maxi est atteinte (85 km/h en City). Enfin, ce scooter espagnol est doté d’une marche arrière que les modèles thermiques ne proposent pas ; c’est très pratique pour reculer dans une pente plutôt que de faire ça du bout des pieds avec 155 kg à déplacer.

“Une batterie amovible et qui se transporte comme une valise à roulettes pour le Seat Mo. Pratique !“

La batterie s’extrait facilement, et les roulettes de déploient automatiquement. La poignée télescopique permet d’emmener les 41 kg de batterie sans trop de mal.

Avec sa batterie d’une capacité de 5,6 kWh, le Seat Mo annonce une autonomie de 137 km sur le cycle WLTP. Dans la vraie vie, il faudra compter sur une centaine de kilomètres, ce qui est bien suffisant pour le quotidien. Il y a deux moyens pour recharger le Seat Mo. Une prise sur le flanc du scooter permet de le raccorder au secteur lorsqu’on dispose d’un garage, mais Seat a aussi pensé à ceux qui laissent leur scooter dans la rue grâce à la batterie amovible. Cette dernière, qui s’extrait facilement par le côté, est équipée de deux roulettes et d’une poignée télescopique type valise d’avion afin d’être déplacée sans trop d’effort.

Il suffit alors d’emporter la batterie pour la recharger. On notera au passage qu’un scooter électrique sans batterie dans la rue éloigne les risques de vol… Pour une charge complète sur le secteur, tablez sur un délai de 6 à 8 heures. Une application mobile permet de suivre l’évolution de la charge, mais aussi de localiser le scooter et de connaître l’autonomie. Enfin, le eScooter proposera en accessoire un top-case, un tablier et un support de smartphone en complément du pare-brise haut.

 

Bilan essai Seat Mo eScooter 125

Pour sa première incursion dans le monde du scooter, Seat vise un positionnement trop peu occupé : le « 125 cm3 électrique » à prix raisonnable avec des prestations sérieuses. Voilà donc une offre intéressante pour le scootériste qui veut faire sa transition énergétique tout en gardant la possibilité de s’éloigner du centre-ville par les voies rapides.

[…]

Source: https://cutt.ly/obbkO1f
Photos L’argus/DR

4 mai 2021par Justine Mercier
CHEZ SKODA

Pourquoi l’Octavia est devenue la meilleure vente de Skoda en France ?

Rares sont les marques généralistes à placer en tête de leurs ventes une berline. C’est pourtant ce qu’a réalisé Skoda en 2020 avec une convaincante Octavia. Une domination qui se confirme de loin sur le premier trimestre 2021.

Même si les SUV représentent presque 40 % des ventes de voitures neuves en France, nombreuses sont les marques dont le best-seller n’est pas un “haut sur pattes”. Nos constructeurs français en sont les premiers exemples puisque Citroën, Peugeot ou Renault livrent toujours plus de 208, Clio ou C3 que de 2008, Renault Captur ou C3 Aircross. En revanche, trouver un constructeur généraliste dont la meilleure vente n’est ni un SUV, ni une citadine, n’est pas si simple que cela. A ce titre, Skoda fait un peu figure d’exception, avec une Skoda  Octavia, renouvelée fin 2019 et qui est venue détrôner la citadine Skoda Fabia en fin de vie. Meilleure vente du tchèque en 2020 (6 232 ex.) et sur le premier trimestre 2021 (2 086 ex.), cette Octavia le mérite amplement.

 

Un style moderne et personnel

Skoda Octavia 2020 © Skoda

 

Propriété de Volkswagen depuis 1991, Skoda a longtemps souffert d’une moins bonne image de marque. Avec cette nouvelle Octavia, le constructeur tchèque prouve – même si le constat est antérieur à elle – qu’il n’a plus rien d’un “sous-VW”. D’abord, le style de cette quatrième génération est beaucoup plus affirmé qu’avant. Mais c’est encore plus vrai à l’intérieur où, malgré des ressemblances inévitables pour des raisons industrielles d’architecture commune, l’Octavia se détache d’une Passat ou même d’une VW Golf. La planche de bord et les contre-portes proposent des dessins inédits, presque plus valorisants. Sans parler d’une qualité de fabrication au moins égale aux productions de Wolfsburg. La photo ci-dessous présente une version RS plus soignée mais les versions plus simples ne sont pas moins bien assemblées.

Les fondamentaux Skoda respectés

La nouvelle Skoda Octavia aurait manqué à son devoir si elle n’avait pas été habitable. Car l’espace à bord est souvent chasse gardée des modèles tchèques. C’est donc presque sans surprise que cette quatrième génération de la moyenne berline nous offre des cotes très respectables. Sur ce point, notre mètre est formel, quelle que soit la mesure sélectionnée, l’Octavia fait au moins aussi bien que la concurrence et souvent mieux. Que l’on parle hauteur sous pavillon à l’avant ou à l’arrière, distance pour les jambes des passagers, largeur aux épaules, coffre, la tchèque rafle la mise. Résultat, malgré ses “petits” 4,70 m de long, elle offre à une petite famille l’espace suffisant au quotidien et même pour partir en vacances sans forcer sur les valises. Qui plus est, les rangements à bord son nombreux et malins. Bref, il faut bon vivre dans cette Octavia.

Essence, diesel, hybride rechargeable, 4×4, break… au choix !

Une autre force de la Skoda Octavia est de proposer une large gamme de moteurs. Essence, diesel, hybride rechargeable, avec des puissances allant de 110 (TSI 1.0) à 245 ch pour la finition RS, le choix est varié et s’adresse à tout le monde. D’autant qu’aucune version n’est à déconseiller. Le 3-cylindres turbo essence 1.0 d’entrée de gamme offre suffisamment d’agrément au quotidien, le TDI 116 est remarquable de disponibilité et bat des records de sobriété – avis aux gros rouleurs –, tandis que le désormais traditionnel 1.5 turbo essence de 150 ch se montre à la fois peu gourmand et performant une fois la voiture chargée.

[…]

Skoda Octavia Scout 2020 © Skoda

Source: https://cutt.ly/rbbqYHE
Photos : Skoda

4 mai 2021par Justine Mercier
CHEZ SEAT

La Cupra Born passe l’épreuve du froid

Attendue en toute fin d’année, la première voiture électrique de Cupra réalise sous camouflage ses derniers tests dans le nord de l’Europe.

Inspirée du concept El Born présenté en 2019 sous blason Seat, la première voiture électrique de Cupra entame ses derniers préparatifs. En Europe du Nord, les composants électriques et mécaniques passent l’épreuve du froid par des températures allant jusqu’à -30 °C. Au total, plus de 1 000 tests sont réalisés par les équipes du constructeur, dont une épreuve de durabilité consistant à faire rouler la voiture jour et nuit sur 30 000 kilomètres. Une façon de valider le fonctionnement « toutes saisons » de la voiture.

Lancement fin 2021

La nouvelle Cupra Born sera présentée dans sa version définitive dans les prochaines semaines. Ses caractéristiques ne sont pas connues, mais devraient largement s’inspirer des autres modèles du groupe Volkswagen. Le modèle espagnol devrait notamment recevoir un pack 77 kWh pour une autonomie supérieure à 500 kilomètres.

 

 

 


Source: https://cutt.ly/Tbv75aD
Photos: Cupra
4 mai 2021par Justine Mercier
Page 1 of 212»

Rechercher

ARTICLES POPULAIRES

Cupra Leon (2024) et Born (2025). Un nouveau visage 100 % Cupra !

Cupra Leon (2024) et Born (2025). Un nouveau visage 100 % Cupra !

Voiture en papier : plus de 100 modèles à assembler pendant le confinement

Volkswagen ID.1 : la citadine électrique pas avant 2025 ?

J-1 avant nos journées portes ouvertes

Catégories

  • CHEZ CUPRA
  • CHEZ SEAT
  • CHEZ SKODA
  • CHEZ VOLKSWAGEN
  • CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

ABONNEZ-VOUS A NOTRE NEWSLETTER

ARTICLES RÉCENTS

Cupra Leon (2024) et Born (2025). Un nouveau visage 100 % Cupra !

Cupra Leon (2024) et Born (2025). Un nouveau visage 100 % Cupra !

Vous avez peut-être participé à la conception du design de cette future voiture

Vous avez peut-être participé à la conception du design de cette future voiture

Škoda Kamiq et Scala restylés : double restylage pour le SUV compact et la compacte

Škoda Kamiq et Scala restylés : double restylage pour le SUV compact et la compacte

ŠKODA PROFITE DU TOUR DE FRANCE POUR PRÉSENTER LA FUTURE SUPERB

ŠKODA PROFITE DU TOUR DE FRANCE POUR PRÉSENTER LA FUTURE SUPERB

RECHERCHER


© 2020 Fiat blog by Tressol-Chabrier