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CHEZ CUPRA

Cupra, au nom du sport auto

C’est une marque que vous ne connaissez pas forcément, mais dont le nom doit vous dire quelque chose. Cupra a une histoire étroitement liée au constructeur espagnol Seat. En effet, si la marque Cupra a officiellement été lancée au salon de Francfort en 2017, l’appellation est bien plus ancienne. Savez-vous ce que signifie Cupra ? Connaissez-vous les grandes étapes de Cupra avant qu’elle devienne une vraie marque?

Si on vous dit “marque espagnole”, vous ne citerez probablement pas Cupra de façon spontanée. Pourtant, cette marque commence à s’imposer partout en Europe avec une image voulue chic et sportive et un plan produit ambitieux pour l’avenir. Mais connaissez-vous vraiment ce nouveau constructeur ?

Seat Sport, l’ancêtre

Dans les années 80, Seat, seul constructeur espagnol, est sous la tutelle de Fiat, et assemble essentiellement des clones de la gamme italienne. Mais cela n’empêche pas le constructeur espagnol d’avoir des envies de performance. On crée ainsi une division sport automobile pour Seat, qui succède au “département des véhicules spéciaux”.

La première réalisation de Seat Sport sera une version revue du moteur 1,6 litre de l’Ibiza. C’est à cette époque qu’on commence à voir la citadine espagnole dans divers rallyes à travers l’Europe.

Dans les années 90, Seat a depuis longtemps changé de camp pour rejoindre le groupe Volkswagen mais la division Seat Sport existe toujours. Elle développe une version 2.0 litre de l’Ibiza GTI 16V, homologuée en kitcar pour courir en FIA 2-Litre World Rally Cup. Pendant longtemps, Cupra était la division sport de Seat.

D’où vient le nom Cupra ?

C’est à ce moment qu’apparaît le nom Cupra, pour la première fois sur une Seat Ibiza. Un exemplaire réalisé pour célébrer la victoire dans la coupe du monde des rallyes FIA-2 litres en 1996. Le nom Cupra est tout simplement la contraction de Cup Racing. Une manière de rendre hommage à l’expérience fructueuse de la marque dans le sport automobile. L’histoire aurait pu s’arrêter là mais l’Ibiza GTI Cupra Sport 16v de 1996 marque le début d’une nouvelle ère.

À partir de maintenant, toutes les Seat à vocation sportive porteront le badge Cupra. Cupra est alors à SEAT ce que AMG est à Mercedes et RS à Audi.                                                                                                                                                                                                                                      Devant le succès de ces versions sportives, Seat va prendre une décision : la Leon Cupra R ST de 2018 sera la dernière Seat à porter le nom de Cupra. L’appellation va pouvoir prendre son envol.

Un constructeur à part entière

Au Salon de Francfort en 2017, Cupra devient officiellement un constructeur automobile à part entière. Au début, difficile de ne pas faire le lien avec SEAT. La Cupra Ateca, basée sur la Seat Ateca, n’est qu’une version sportive de la familiale de cette dernière.

Depuis, la marque se détache de plus en plus de Seat et lance ses propres modèles comme le Formentor, premier modèle développé en interne.

Que représente le logo de la marque ?

C’est en 2012 que la division sportive de Seat hérite de son premier logo. On y retrouve l’inscription Cupra en noir assortie d’un drapeau à damier rouge et blanc. Un logo assez minimaliste qui évoque, sans surprise, l’univers du sport automobile.

Mais en 2018, Cupra est officiellement indépendante et se voit dotée d’un tout nouveau logo.

D’après Alejandro Mesonero, designer de Cupra, le logo représente deux lettres “C” qui se croisent et forment un triangle. Un triangle qui est retourné pour lui donner “plus de vitesse et de dynamisme”.

La marque Cupra a vendu 79 300 véhicules dans le monde en 2021, contre 27 400 véhicules l’année précédente. Un bon début pour une marque de moins en moins inconnue.

 

source : https://cutt.ly/qCrFNUb

31 août 2022par Candice Bayol
CHEZ SKODA

Skoda Vision 7S : le nouveau visage de Skoda

La marque Tchèque a réuni toute la presse internationale dans son fief de Prague pour présenter sa nouvelle identité et ses projets à l’horizon 2030.

La firme Tchèque a présenté dans son fief de Prague, sa feuille de route jusqu’à 2030. Ce plan ambitieux baptisé « Next Level » prévoit une grosse accélération dans les domaines de l’électrique, du numérique et du design.

Le constructeur a en effet annoncé que 70 % de sa gamme sera composée de modèles 100 % électriques à cet horizon. Pour ce faire, Skoda injectera 5,6 milliards d’euros dans « l’e-mobilité » et près de 700 millions d’euros dans la digitalisation.

La nouvelle face avant se caractérise par une calandre plus fine et désormais sans relief ainsi que par des optiques en forme de T. Cette nouvelle identité visuelle s'appelle "Teck-deck".
La nouvelle face avant se caractérise par une calandre plus fine et désormais sans relief ainsi que par des optiques en forme de T. Cette nouvelle identité visuelle s’appelle « Teck-deck ».

Voici le nouveau logo Skoda, désormais en 2D. Il remplace la flèche ailée au bout du capot. Il surplombe un bandeau LED qui s'étend tout le long du véhicule.<br>

Pour accompagner cette nouvelle stratégie, la marque adopte une nouvelle identité visuelle. « Modern Solid », c’est l’appellation marketing choisie par Skoda pour qualifier ce nouveau design. « Le changement le plus important pour Skoda depuis son entrée au sein du groupe Volkswagen, il y a 30 ans » explique Martin Jahn, membre du conseil d’administration.

Voici le nouveau logo Skoda, désormais en 2D. Il remplace la flèche ailée au bout du capot. Il surplombe un bandeau LED qui s’étend tout le long du véhicule.<br>

D’ici 2026, trois nouveaux modèles électriques issus de ce plan feront leur apparition : une citadine, un SUV compact de la taille d’un Karoq et enfin un SUV sept places attendu pour fin 2015. C’est justement ce dernier qui pose aujourd’hui, sous la forme d’un concept, les bases du nouveau visage de Skoda. Son nom ? Vision 7S. Un véhicule familial électrique capable d’offrir 7 places.

Reposant sur la plateforme modulaire (MEB) du groupe Volkswagen, ce concept arbore une silhouette de SUV plutôt convenue marquée par un épaulement large, des passages de roues carrés et des jantes de grand diamètre.

En bas des pare-chocs, on constate la présence de 7 prises d’air verticales dont une orange. Cette dernière donne accès à un coupe-circuit en cas de problème.
En bas des pare-chocs, on constate la présence de 7 prises d’air verticales dont une orange. Cette dernière donne accès à un coupe-circuit en cas de problème.
Ce SUV au design plutôt convenu est marqué par un épaulement large, des passages de roues carrés et des jantes de grand diamètre.
Ce SUV au design plutôt convenu est marqué par un épaulement large, des passages de roues carrés et des jantes de grand diamètre.

Le Vision 7S arbore surtout plusieurs gimmicks que l’on retrouvera sur les prochains modèles de série  et notamment la « Teck-deck ». Il s’agit de la nouvelle la face avant. La calandre familière a été affinée et les nervures sont désormais remplacées par du verre foncé. Le tout est mis en lumière par une bande LED qui s’étend sur toute la largeur du véhicule. Le lettrage « Skoda », replace désormais le logo en bout de capot. À ce propos, la flèche ailée est toujours présente mais elle a été simplifiée.

Aux extrémités de cette nouvelle face avant, on retrouve des optiques inédites en forme de T qui débordent sur les ailes. En bas des pare-chocs, à l’avant comme à l’arrière, on constate la présence de 7 prises d’air verticales dont une orange. Cette dernière donne accès à un coupe-circuit en cas de problème. La partie arrière composée d’un pavillon en pente douce, d’un imposant spoiler et d’une jupe au dessin spécifique cible la performance aérodynamique. Le tout est mis en lumière par un coloris inédit vert mat, qui sera pour la première fois proposé au catalogue du constructeur.

Derrière les portes antagonistes, on découvre un intérieur vaste, lumineux composé d'une planche de bord minimaliste. L'écran multimédia tourne à 90° et les sièges pivotent lorsque le mode conduite autonome est engagé. Notez l'emplacement du siège bébé sur le tunnel central, l'endroit le plus sur selon Skoda, peut-être une peu moins pour la sécurité routière.<br>
Derrière les portes antagonistes, on découvre un intérieur vaste, lumineux composé d’une planche de bord minimaliste. L’écran multimédia tourne à 90° et les sièges pivotent lorsque le mode conduite autonome est engagé. Notez l’emplacement du siège bébé sur le tunnel central, l’endroit le plus sur selon Skoda, peut-être une peu moins pour la sécurité routière.<br>

A bord, Skoda fait honneur à sa réputation proposant de généreux volumes à tous les étages. En bon concept, le Vision 7S adopte une planche de bord minimaliste composée, en grande majorité, de matériaux recyclés. Le plancher et les pare-chocs sont par exemple fabriqués à partir de pneus recyclés. Les portes antagonistes sont présentes uniquement pour l’occasion. Elles ne seront pas reconduites sur la version de série.

Skoda annonce avoir particulièrement travaillé sur l’interface homme/machine pour améliorer l’ergonomie. La bonne nouvelle c’est que la marque n’abandonne pas les commandes physiques à l’image des boutons rotatifs qui permettent de régler la climatisation.

Malgré un gros contenu technologique, Skoda a conservé des commandes physiques.
Malgré un gros contenu technologique, Skoda a conservé des commandes physiques.
De nombreux éléments, à l'image du revêtement de sol ont été conçus à partir de matériaux recyclés.
De nombreux éléments, à l’image du revêtement de sol ont été conçus à partir de matériaux recyclés.

Ce qui surprend à bord de ce concept, c’est la place allouée au siège bébé. Ce dernier prend place entre la console centrale et les sièges de la deuxième rangée. « L’endroit le plus sûr du véhicule selon Skoda ». Une caméra intérieure retransmet l’image de l’enfant à travers l’écran central. Il n’y a quasiment aucune chance de voir ce système reconduit sur un modèle de série.

Ce concept équipé d’un système de conduite autonome, offre deux configurations intérieures. En mode « conduite », tous les éléments sont à leur place. L’écran tactile central est en position verticale et le siège face au volant, etc. Pendant ou lorsque le véhicule est en charge, le mode « Relax » est disponible. Le volant et le combiné d’instruments glissent vers l’arrière, les sièges avant pivotent, s’inclinent pour permettre aux passagers arrière de voir l’écran. Tous les passagers ont une vue dégagée sur l’écran qui pivote en position horizontale.

Parmi les astuces « simply clever » chères à la marque, Skoda innove avec des surfaces magnétiques sous la console centrale et derrière les dossiers de sièges qui permettent de fixer un smartphone ou différents objets métalliques comme une bouteille ou ici une trousse de premiers soins.

Le Vision 7S proposera entre autres une batterie d’une capacité de 89 kWh autorisant une autonomie de 600 km (WLTP) et capabe de recevoir une puissance de recharge allant jusqu’à 200 kW (DC).

Le Vision 7S proposera entre autres une batterie d'une capacité de 89 kWh autorisant une autonomie de 600 km (WLTP) et capabe de recevoir une puissance de recharge allant jusqu'à 200 kW (DC).

Concernant la partie technique le constructeur donne peu d’informations. Le concept est animé par une batterie d’une capacité de 89 kWh assemblée en République Tchèque dans l’usine historique de Mlada Boleslav. Skoda a inauguré au printemps dernier une ligne d’assemblage de cellules (fournies par LG) capable de produire 250 000 batteries par an pour fournir plusieurs modèles électriques du groupe Volkswagen. Ici, elle octroie concept Vision 7S une autonomie de 600 kilomètres selon le cycle WLTP. Cette dernière accepte une puissance de recharge en courant continu allant jusqu’à 200 kW. Des valeurs élevées à l’heure actuelle sur le marché des constructeurs généralistes.

Source : https://cutt.ly/ACrDoyi

31 août 2022par Candice Bayol
CHEZ SEAT

SEAT répond à cinq questions clefs sur les batteries

Elles sont absolument partout : dans les consoles de jeux vidéo portables, dans l’appareil sur lequel vous lisez ce texte, mais aussi dans les voitures. Il s’agit des batteries. C’est l’un des principaux composants des véhicules électriques et hybrides, raison pour laquelle de nombreux utilisateurs ont des questions sur leur fonctionnement. Pour répondre à ces interrogations, un expert du Test Center Energy, le centre pionnier de recherche et de développement dédié aux batteries de SEAT S.A., répond à cinq questions clés sur cet équipement.

De quoi sont composées les batteries ? “La technologie que nous utilisons au sein du Groupe Volkswagen est basée sur le lithium-ion, zet plus précisément sur la combinaison chimique du nickel, du manganèse et du cobalt, d’où l’appellation NMC”, explique Francesc Sabaté, responsable du Test Center Energy (TCE). Ces éléments forment des cellules qui représentent les unités minimales de stockage d’énergie, et qui facilitent la charge. “Les cellules sont regroupées en modules qui, avec l’électronique de contrôle, le système de refroidissement et les boîtiers, composent la batterie complète qui est fin prête à être montée dans le véhicule” ajoute Francesc.

Quelle est la différence entre une batterie destinée à un véhicule électrique et une batterie de voiture hybride ? La réponse réside dans leurs capacités de stockage qui sont différentes. “En l’absence de moteur thermique contrairement à une hybride, la batterie d’un véhicule électrique doit offrir une capacité plus importante de sorte à parcourir la même distance”, explique l’ingénieur. Cela se traduit par un nombre de cellules plus important: “La batterie d’un véhicule hybride compte une centaine de cellules environ, tandis qu’on en dénombre quelque 300 dans celle d’un véhicule électrique.”

Quelle est sa durée de vie ? “Cela dépend de l’utilisation qui est faîte de la voiture : sa fréquence d’utilisation, les températures auxquelles elle est exposée et le nombre de cycles de charge”, répond Francesc. Et il ajoute : “En ce qui concerne nos véhicules, grâce aux tests intensifs auxquels nous soumettons les batteries, nous garantissons un minimum de 160 000 kilomètres ou une durée de vie de 8 ans.” Ces tests sont notamment réalisés dans des conditions climatiques extrêmes, et avec des modes d’utilisation qui poussent continuellement les batteries à leurs limites.

Comment prolonger sa durée de vie ? Il est essentiel de maintenir le véhicule dans le meilleur état possible : “Il est conseillé de minimiser le nombre de charges rapides, car cela permet d’éviter que la température de la batterie soit trop élevée”, explique-t-il. “Maintenir un niveau de charge compris entre 40 et 80 % permet également de prolonger la durée de vie de la batterie au-delà des critères minimaux de garantie”, ajoute l’ingénieur de SEAT S.A.

Peut-on leur donner une seconde vie ? Lorsque les véhicules électriques ont atteint 160 000 km ou après 8 ans, la batterie affiche encore une capacité de 80 % environ. “Cela signifie que nous constatons une réduction de l’autonomie de la voiture lors de son utilisation quotidienne et, par conséquent, de la distance que nous pouvons parcourir sur une seule charge”, explique Francesc. “Mais cela ne veut pas dire que la batterie n’ait plus aucune utilité, car ces 80 % de capacité peuvent être utilisés dans d’autres applications qui nécessitent moins de puissance, comme le stockage d’énergie statique par exemple.” Grâce à ce nouvel usage, une vieille batterie peut être réutilisée afin de prolonger sa durée de vie.

Source : https://cutt.ly/sCrUhs4

 

31 août 2022par Candice Bayol
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Vignette Crit’Air -ZFE : comment connaître le classement de mon véhicule ? Quelle pastille acheter ?

L’apposition d’une vignette Crit’Air sur les véhicules à moteur est une obligation pour circuler sur les routes françaises depuis le 1er juillet 2019, évoluant au fil des ans. Reste à connaître le numéro de vignette correspondant à votre véhicule. Voici la réponse.

Si la vignette Crit’Air est obligatoire pour pouvoir rouler sur les routes de notre pays (dans les zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m) instaurées par les collectivités ou pour circuler lorsque le préfet instaure la circulation différenciée lors des épisodes de pollution) y compris pour les étrangers y circulant avec leur véhicule, il faut évidemment au préalable connaître quelle vignette acheter sur le site officiel du gouvernement dédié. Pour ce faire, les modalités sont simples et dépendent de trois critères : carburant, type de véhicule et Norme EURO. Concernant le type de carburant, vous le connaissez forcément mais, au cas où, le site rappelle que le type d’énergie d’un véhicule correspond au champ P.3 pour les certificats d’immatriculation émis depuis 2004, et au champ EN pour les certificats d’immatriculation émis avant 2004. Pour le Diesel par exemple, il peut porter les mentions suivantes : GO, GH, GQ, GF, GA, GE, GG et PL.

La clef des champs

Pour le champ suivant, celui dédié au type de véhicule, il comprend cinq catégories, du véhicule particulier en passant par les poids-lourds ou encore les motos. En cas de doute ou d’ignorance, le type de véhicule est identifié par la lettre J ou J.1 sur les certificats d’immatriculation émis depuis 2004, et par le champ Genre pour les certificats d’immatriculation émis avant 2004. Troisième et dernier champ à remplir pour acheter et obtenir son certificat « qualité de l’air », connaître la norme EURO de son véhicule. Pour y parvenir, un menu déroulant au classement allant de EURO 1 à EURO 6, une de ces mentions qu’on récupérera au niveau du champ V.9 du certificat d’immatriculation. A noter que ce champ n’apparaît pas sur les certificats émis avant le 15 mars 2009 et qu’en pareil cas il faudra cocher la mention « Pas de norme EURO indiquée sur le certificat d’immatriculation ».

Uniquement par voie postale

Vous y êtes presque, il faudra simplement indiquer si le véhicule est immatriculé en France ou à l’étranger ainsi que le numéro d’immatriculation dudit véhicule. Enfin, avant de recevoir votre sésame par voie postale (et seulement par ce biais), vous n’aurez plus qu’à vous acquitter des 3,70€ correspondant au prix de la vignette Crit’Air et de l’affranchissement.

source : www.automobile-magazine.fr

31 août 2022par Manuèle Maniez
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