SKODA France lance une offre de contrat d’entretien tout compris à des tarifs particulièrement compétitifs. Avec un engagement 24 mois, il coutera 9€ chaque mois aux souscripteurs propriétaires d’une SKODA électrique, et 19€ pour les propriétaires d’une SKODA thermique ou hybride. Cette offre est réservée aux particuliers dans la limite de 20 000 km par an maximum.
Les particuliers propriétaires d’une SKODA de moins de 8 ans et 160 000 km sont tous éligibles au nouveau contrat d’entretien proposé par SKODA France à la formule particulièrement attractive, et ce quel que soit le modèle. La souscription d’un contrat d’entretien mensualisé est à la fois utile et avantageuse ; elle permet de maîtriser son budget auto tout en faisant des économies (la mensualité est invariable), elle garantie le respect de l’entretien préconisé du véhicule en le confiant aux experts SKODA partout en France et elle permet de valoriser le véhicule en cas de revente en justifiant de tous les entretiens.
« Nous sommes très heureux de proposer cette offre spécifique au marché français. Elle est parfaitement alignée avec notre volonté de faciliter la vie de nos clients en simplifiant leur rapport à leur SKODA. Elle est également particulièrement attractive, ce qui est loin d’être anodin en cette période où le pouvoir d’achat des français est un sujet de préoccupation, et enfin cette offre nous permet de valoriser l’expertise indéniable de notre réseau en France. »
Outre l’entretien préconisé (pièces et ingrédients inclus), le contrat comprend le remplacement de l’ensemble des filtres (à air/huile/carburant/habitacle), des essuies glace avant, des bougies d’allumage et la recharge du liquide lave-vitres. Le contrat peut être souscrit en concession ou directement sur le site www.skoda.fr, l’offre est valable en France métropolitaine (Corse incluse) pour des SKODA immatriculées en France.
Après le Skoda Enyaq Coupé, c’est au tour du SUV classique Enyaq de recevoir sa variante sportive RS iV, forte de 300 ch grâce à deux moteurs électriques.
En début d’année 2022, Skoda dévoilait la variante RS iV de son Enyaq Coupé. Essayée dans nos colonnes au printemps, la variante sportive était pour le moment réservée à la carrosserie coupé, mais se décline aujourd’hui sur le SUV traditionnel Enyaq.
Il s’agit donc du second modèle électrique décliné en gamme RS iV. L’Enyaq reprend la même recette que le coupé, avec deux moteurs électriques délivrant une puissance cumulée de 220 kW, soit 300 ch. Grâce à cet ensemble offrant 460 Nm de couple, le SUV dispose d’une transmission intégrale de série. La plateforme MEB est commune à plusieurs modèles du groupe Volkswagen, dont les VW ID.4, ID.5 et Audi Q4 e-tron entre autres. Mais l’Enyaq RS iV, lui, sort de l’usine Skoda de Mladá Boleslav (République Tchèque), d’où sortira bientôt le 100 000ème exemplaire.
Quelques spécificités pour la variante RS iV
L’Enyaq RS iV se démarque des variantes plus classiques par sa suspension sport abaissant la garde au sol de 15 millimètres à l’avant et 10 millimètres à l’arrière. Il s’offre aussi des jantes de 20 ou 21 pouces, une teinte spécifique Vert Mamba en plus d’autres coloris. Le look est voulu plus sportif avec des boucliers retravaillés, des accents noirs (badges, contour de calandre et de vitres, diffuseur, coques de rétroviseurs), des bas de caisse couleur carrosserie et une calandre illuminée Crystal Face de série.
A bord, le SUV se distingue par des inserts façon carbone, des sièges sport chauffants et siglés RS ainsi qu’une sellerie en suédine comprenant des surpiqûres contrastées vertes. L’écran central de 13 pouces est complété par un Digital Cockpit paramétrable de 5,3 pouces pour l’affichage des compteurs.
Plus de 500 km d’autonomie
En plus de sa puissance augmentée à 300 ch, la variante RS améliore sa vitesse de pointe et grimpe jusqu’à 180 km/h, contre 160 km/h pour les autres Enyaq. Elle abat le 0 à 100 km/h en 6,5 s, soit autant que l’Enyaq Coupé RS iV. La batterie de 82 kWh permettrait selon la marque d’offrir un peu plus de 500 km d’autonomie selon le cycle WLTP.
Skoda prévoit une commercialisation dès la mi-novembre, avec des premières livraisons en fin d’année. Le tarif est pour le moment inconnu, mais devrait être légèrement inférieur à celui de l’Enyaq Coupé équivalent, qui est affiché à partir de 62 210 €.
Le constructeur tchèque Skoda affirme son identité et son positionnement au sein du groupe Volkswagen en renouvelant totalement son image, de son langage esthétique aux clients qu’il vise en passant par son logo. Le grand SUV électrique préfiguré par le concept Vision 7S sera, en 2026, l’un des porte-étendards de ce renouveau. Mais bien avant lui, la Superb sera renouvelée. En tant que berline statutaire située au-dessus de l’Octavia dans la gamme, cette quatrième génération de l’ère VW aura aussi pour mission de tirer la perception de Skoda vers le haut. Elle devrait pouvoir compter sur un style affirmé pour cela, y compris dans sa variante break.
Un break au profil tendu
La Skoda Superb est à la fois une grande berline et un break plus spacieux que l’Octavia Combi.
La Superb actuelle figure au catalogue depuis 2015 ; elle a été restylée en 2019. En toute discrétion, Skoda touche donc à la fin du développement de sa remplaçante, qui porte en interne le nom de code SK491. De par des feux affinés de part et d’autre d’une calandre anguleuse et élargie, l’auto devrait gagner en agressivité visuelle. Le bouclier avant pourrait reprendre un agencement de prises d’air vu sur l’Enyaq, de quoi accentuer encore l’impression de largeur. Le dessin s’annonce toujours tendu grâce à quelques longues arêtes marquées. A la poupe, on pourrait découvrir des feux arrière liés comme le veut la tendance du moment. Comme ses devancières, cette prochaine Superb devrait se montrer généreuse en volume de chargement. Skoda s’orientant davatantage vers des clients amateurs de plein-air, la Superb Scout devrait faire son retour.
Electrification de nouvelle génération pour la Superb IV
Comme l’actuelle, la prochaine Skoda Superb sera vraisemblablement proposée avec une motorisation hybride rechargeable, mais celle-ci pourrait être inédite. La berline devrait en effet hériter du futur groupe motopropulseur électrifié du groupe Volkswagen reposant sur le nouveau quatre-cylindres 1.5 TSI Evo2 en lieu et place du 1.4 TSI qui sert de base aux modèles hybrides rechargeables actuels du géant allemand. Des Superb 100 % essence et diesel devraient également figurer au catalogue, réparties plus parcimonieusement qu’actuellement en fonction des marchés, réglementation et fiscalité locales obligent.
La Skoda Superb IV doit entrer en production en juillet 2024 dans l’usine Volkswagen de Bratislava, en Slovaquie, qui prendra le relais du centre tchèque de Kvasiny d’où sort la génération actuelle. La présentation officielle de la voiture devrait donc avoir lieu début 2024.
La Superb se décline en un break surélevé Scout sur certains marchés.
La marque Tchèque a réuni toute la presse internationale dans son fief de Prague pour présenter sa nouvelle identité et ses projets à l’horizon 2030.
La firme Tchèque a présenté dans son fief de Prague, sa feuille de route jusqu’à 2030. Ce plan ambitieux baptisé « Next Level » prévoit une grosse accélération dans les domaines de l’électrique, du numérique et du design.
Le constructeur a en effet annoncé que 70 % de sa gamme sera composée de modèles 100 % électriques à cet horizon. Pour ce faire, Skoda injectera 5,6 milliards d’euros dans « l’e-mobilité » et près de 700 millions d’euros dans la digitalisation.
La nouvelle face avant se caractérise par une calandre plus fine et désormais sans relief ainsi que par des optiques en forme de T. Cette nouvelle identité visuelle s’appelle « Teck-deck ».
Pour accompagner cette nouvelle stratégie, la marque adopte une nouvelle identité visuelle. « Modern Solid », c’est l’appellation marketing choisie par Skoda pour qualifier ce nouveau design. « Le changement le plus important pour Skoda depuis son entrée au sein du groupe Volkswagen, il y a 30 ans » explique Martin Jahn, membre du conseil d’administration.
Voici le nouveau logo Skoda, désormais en 2D. Il remplace la flèche ailée au bout du capot. Il surplombe un bandeau LED qui s’étend tout le long du véhicule.<br>
D’ici 2026, trois nouveaux modèles électriques issus de ce plan feront leur apparition : une citadine, un SUV compact de la taille d’un Karoq et enfin un SUV sept places attendu pour fin 2015. C’est justement ce dernier qui pose aujourd’hui, sous la forme d’un concept, les bases du nouveau visage de Skoda. Son nom ? Vision 7S. Un véhicule familial électrique capable d’offrir 7 places.
Reposant sur la plateforme modulaire (MEB) du groupe Volkswagen, ce concept arbore une silhouette de SUV plutôt convenue marquée par un épaulement large, des passages de roues carrés et des jantes de grand diamètre.
En bas des pare-chocs, on constate la présence de 7 prises d’air verticales dont une orange. Cette dernière donne accès à un coupe-circuit en cas de problème.Ce SUV au design plutôt convenu est marqué par un épaulement large, des passages de roues carrés et des jantes de grand diamètre.
Le Vision 7S arbore surtout plusieurs gimmicks que l’on retrouvera sur les prochains modèles de série et notamment la « Teck-deck ». Il s’agit de la nouvelle la face avant. La calandre familière a été affinée et les nervures sont désormais remplacées par du verre foncé. Le tout est mis en lumière par une bande LED qui s’étend sur toute la largeur du véhicule. Le lettrage « Skoda », replace désormais le logo en bout de capot. À ce propos, la flèche ailée est toujours présente mais elle a été simplifiée.
Aux extrémités de cette nouvelle face avant, on retrouve des optiques inédites en forme de T qui débordent sur les ailes. En bas des pare-chocs, à l’avant comme à l’arrière, on constate la présence de 7 prises d’air verticales dont une orange. Cette dernière donne accès à un coupe-circuit en cas de problème. La partie arrière composée d’un pavillon en pente douce, d’un imposant spoiler et d’une jupe au dessin spécifique cible la performance aérodynamique. Le tout est mis en lumière par un coloris inédit vert mat, qui sera pour la première fois proposé au catalogue du constructeur.
Derrière les portes antagonistes, on découvre un intérieur vaste, lumineux composé d’une planche de bord minimaliste. L’écran multimédia tourne à 90° et les sièges pivotent lorsque le mode conduite autonome est engagé. Notez l’emplacement du siège bébé sur le tunnel central, l’endroit le plus sur selon Skoda, peut-être une peu moins pour la sécurité routière.<br>
A bord, Skoda fait honneur à sa réputation proposant de généreux volumes à tous les étages. En bon concept, le Vision 7S adopte une planche de bord minimaliste composée, en grande majorité, de matériaux recyclés. Le plancher et les pare-chocs sont par exemple fabriqués à partir de pneus recyclés. Les portes antagonistes sont présentes uniquement pour l’occasion. Elles ne seront pas reconduites sur la version de série.
Skoda annonce avoir particulièrement travaillé sur l’interface homme/machine pour améliorer l’ergonomie. La bonne nouvelle c’est que la marque n’abandonne pas les commandes physiques à l’image des boutons rotatifs qui permettent de régler la climatisation.
Malgré un gros contenu technologique, Skoda a conservé des commandes physiques.De nombreux éléments, à l’image du revêtement de sol ont été conçus à partir de matériaux recyclés.
Ce qui surprend à bord de ce concept, c’est la place allouée au siège bébé. Ce dernier prend place entre la console centrale et les sièges de la deuxième rangée. « L’endroit le plus sûr du véhicule selon Skoda ». Une caméra intérieure retransmet l’image de l’enfant à travers l’écran central. Il n’y a quasiment aucune chance de voir ce système reconduit sur un modèle de série.
Ce concept équipé d’un système de conduite autonome, offre deux configurations intérieures. En mode « conduite », tous les éléments sont à leur place. L’écran tactile central est en position verticale et le siège face au volant, etc. Pendant ou lorsque le véhicule est en charge, le mode « Relax » est disponible. Le volant et le combiné d’instruments glissent vers l’arrière, les sièges avant pivotent, s’inclinent pour permettre aux passagers arrière de voir l’écran. Tous les passagers ont une vue dégagée sur l’écran qui pivote en position horizontale.
Parmi les astuces « simply clever » chères à la marque, Skoda innove avec des surfaces magnétiques sous la console centrale et derrière les dossiers de sièges qui permettent de fixer un smartphone ou différents objets métalliques comme une bouteille ou ici une trousse de premiers soins.
Le Vision 7S proposera entre autres une batterie d’une capacité de 89 kWh autorisant une autonomie de 600 km (WLTP) et capabe de recevoir une puissance de recharge allant jusqu’à 200 kW (DC).
Concernant la partie technique le constructeur donne peu d’informations. Le concept est animé par une batterie d’une capacité de 89 kWh assemblée en République Tchèque dans l’usine historique de Mlada Boleslav. Skoda a inauguré au printemps dernier une ligne d’assemblage de cellules (fournies par LG) capable de produire 250 000 batteries par an pour fournir plusieurs modèles électriques du groupe Volkswagen. Ici, elle octroie concept Vision 7S une autonomie de 600 kilomètres selon le cycle WLTP. Cette dernière accepte une puissance de recharge en courant continu allant jusqu’à 200 kW. Des valeurs élevées à l’heure actuelle sur le marché des constructeurs généralistes.