SEAT SKODA VOLKSWAGEN Tressol-Chabrier -
  • Accueil
  • CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE
  • CHEZ CUPRA
  • CHEZ SEAT
  • CHEZ SKODA
  • CHEZ VOLKSWAGEN
Accueil
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE
CHEZ CUPRA
CHEZ SEAT
CHEZ SKODA
CHEZ VOLKSWAGEN
  • Accueil
  • CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE
  • CHEZ CUPRA
  • CHEZ SEAT
  • CHEZ SKODA
  • CHEZ VOLKSWAGEN
SEAT SKODA VOLKSWAGEN Tressol-Chabrier -
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Radars : leur signalisation bientôt plus encadrée ?

La concertation se poursuit quant à l’encadrement de la signalisation des radars et contrôles routiers par les applications de navigation.

La signalisation des radars et contrôles routiers par les applications d’aide à la conduite ou de navigation fait, encore et toujours, débat. D’un côté, les pouvoirs publics ne souhaitent pas que les divers contrôles soient signalés. De l’autre, les applications de navigation poussent pour garder ces options.

Dans cet affrontement incessant, la concertation se poursuit. Interrogé lundi sur BFM Business, Jérôme Marty, directeur général de Waze France, a abordé le sujet : « On a toujours les radars qui sont disponibles. On a toujours identifié les radars. Ils sont de toute façon publics, on les identifie avec des panneaux sur la route. »

Concernant les autres signalements, il a aussi expliqué que les acteurs du marché sont « en discussion (…) avec les autorités, pour définir un cadre. C’est la loi qu’on a appelé ‘Harry Potter’. La cape d’invisibilité donnait à certains policiers la possibilité de se rendre invisibles pour certains contrôles. » 

Outre les radars, certains signalements sont interdits

Depuis le 1er novembre 2021, les préfets peuvent en effet interdire temporairement aux applications d’aide à la conduite ou à la navigation par géolocalisation (GPS) de diffuser des messages qui signalent certains contrôles routiers. Cette interdiction est limitée à deux ou douze heures maximum, suivant les cas. Elle intervient dans un rayon de dix kilomètres hors agglomération et de deux kilomètres en agglomération.

Sont donc visés les contrôles sensibles, impliquant l’interception des véhicules. Cela concerne les contrôles d’alcoolémie, de stupéfiants, d’identité. Les fouilles de véhicules ou de bagages, ainsi que les recherches d’individus entrent également dans ce cadre.

Les exploitants des applications ont plutôt intérêt à appliquer la loi. En cas de non-respect, ils sont en effet passibles de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende.

Source : https://www.auto-moto.com

3 mai 2022par Flora Lemble
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Votre batterie de voiture électrique peut-elle prendre feu ?

Les incendies de véhicules électriques agitent régulièrement les réseaux sociaux. Pourtant, une voiture à batterie a nettement moins de risques de s’enflammer qu’un véhicule thermique. Si le brasier est parfois impressionnant, les services de secours disposent de procédures d’intervention spécifiques.

Des jets d’étincelles, des crépitements, une fumée épaisse : l’embrasement d’une batterie de véhicule électrique peut être saisissant. Il est toutefois peu probable que vous en voyez un au cours de votre existence. Les voitures électriques prendraient-elles feu plus souvent ? Non ! Les voitures électriques présentent moins de risque d’incendie que leurs homologues essence et diesel.

Une étude publiée début 2022 par l’assureur américain AutoInsurenceEZ l’a notamment démontré. Elle a constaté un ratio de 25 feux/100 000 véhicules sur les électriques, contre 1 529 feux/100 000 véhicules pour les thermiques et un surprenant taux de 3 457 feux/100 000 véhicules sur les hybrides.

Pourquoi une batterie de voiture électrique peut s’enflammer ?

Une batterie peut s’embraser pour plusieurs raisons. Une perforation, dislocation, déformation ou un simple dysfonctionnement du BMS (l’ordinateur qui régule les flux d’énergie dans la batterie) peut provoquer un court-circuit puis un emballement thermique des cellules, menant à un incendie localisé ou généralisé.

La plupart des feux de batterie semblent être causés par un défaut de conception ou de fabrication. Des erreurs rapidement corrigées lors de vastes campagnes de rappel comme celles du Hyundai Kona, ou par des mises à jour à distance telles que réalisées par Tesla suite à une série d’incendies.

Une protection contre les chocs latéraux

Les accidents de la circulation sont plus rarement à l’origine de sinistres touchant la batterie. Si le réservoir d’un véhicule essence ou diesel peut s’éventrer lors d’un choc, c’est plus difficilement le cas d’une batterie qui est protégée par un cadre en métal. Les cas de dislocation de batterie ne concernent que des accidents d’une extrême violence et n’impliquent pas systématiquement un incendie.

Un pack a toutefois plus de risques d’être perforé lors d’un impact vertical et concentré sous le véhicule, la surface horizontale face à la route étant son talon d’Achille. Dans ce cas, un compartimentage des cellules peut contenir l’emballement à la zone touchée. Par ailleurs, une batterie éventrée ne fuit pas de grandes quantités de liquide inflammable, à l’inverse d’un réservoir de carburant.

Un feu de batterie de voiture électrique est-il dangereux ?

Comme tous les incendies, celui d’une batterie présente naturellement un danger. Il faut évidemment évacuer le véhicule sans délai à la moindre fumée ou phénomène suspect. Cependant, l’absence de fluide hautement inflammable réduit le risque de propagation du sinistre par écoulement. Une batterie contient des matières solides ou gélifiées qui brûleront sur place.

Selon un test réalisé fin 2021 par les pompiers autrichiens, les universités de Graz et Leoben ainsi que le cabinet de conseil ILF Consulting, un feu de voiture électrique (en considérant l’intégralité du véhicule et pas seulement sa batterie) dégage un peu plus de chaleur qu’un feu de voiture diesel. Ces derniers ont mesuré entre 6 et 7 mégawatts (MW) la « charge calorifique » moyenne d’une électrique, quand une diesel dégage autour de 5 MW. Une différence assez faible qui ne provoquerait pas d’augmentation significative du péril pour les usagers, d’après les pompiers.

Comment les pompiers éteignent un feu de batterie de voiture électrique ?

Les services de secours ont dû s’adapter à l’arrivée des véhicules électriques sur le marché. De nouveaux protocoles et matériels sont régulièrement instaurés afin de contenir rapidement et en toute sécurité l’embrasement d’une batterie. Un apport massif d’eau est toujours préconisé, comme sur un véhicule thermique. « Si la batterie haute tension prend feu, est exposée à une chaleur élevée ou si elle est pliée, tordue, fendue ou brisée de quelque façon que ce soit, utilisez de grandes quantités d’eau pour refroidir la batterie », recommande ainsi Tesla.

Les voitures électriques sont conçues pour couper immédiatement le courant lors d’un choc. Pour écarter tout risque d’électrocution, les pompiers peuvent retirer manuellement le disjoncteur principal ou utiliser une prise spécifique à brancher sur le port de recharge du véhicule. Cet outil empêche également une mise en route accidentelle, par exemple si le conducteur appuie sur la pédale d’accélérateur.

Pour agir plus efficacement sur les emballements de batterie, les secouristes peuvent aussi se procurer une lance spéciale. Équipée d’un poinçon, elle permet de perforer le pack pour y injecter directement de l’eau à haute pression.

Enfin, les soldats du feu peuvent utiliser une caméra thermique pour identifier les points chauds et s’assurer de l’extinction totale du sinistre. Dans certains cas, la batterie peut être gardée quelques dizaines d’heures sous observation et, plus rarement, plongée dans un bac rempli d’eau. Comme pour un incendie de voiture thermique, les eaux d’extinction sont chargées de matières polluantes. Elles doivent être collectées par les bassins de décantation normalement implantés le long des routes.

Source : https://www.automobile-propre.com

3 mai 2022par Flora Lemble
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

L’EUROPE, CHAMPIONNE DU MONDE DE LA VOITURE AUTONOME ?

Les récentes analyses des dépôts de brevets montrent que l’Europe est en tête dans le domaine de la conduite autonome. Mais comme toujours, quantité ne rime pas forcément avec qualité.

L’Europe est-elle en train de devenir la place forte de la voiture autonome ? D’un point de vue matériel, le Vieux Continent dépend toujours des Asiatiques et Américains, principaux fondeurs de semi-conducteurs. Mais dans la partie logicielle, l’Europe assure. C’est en tout cas ce qui ressort du bilan publié récemment par la Commission européenne sur l’état de la recherche en matière d’intelligence artificielle.

Les investissements sont en progression pour atteindre les 20 milliards d’euros annuels dans l’IA : l’Europe est sur les talons de la Chine et des Etats-Unis qui restent toutefois loin devant en nombre de société spécialisées (respectivement 11362 et 13770, contre 5933 pour l’Europe).

L’Europe championne du monde des brevets

Selon les dernières statistiques de l’ACEA (Association des constructeurs européens d’automobiles), l’Europe est effectivement championne du monde avec 33,4 % des brevets déposés dans le domaine de la conduite autonome, devant les Etats-Unis (30 %) et le Japon (11,5 %). La Chine est nettement plus loin, à 6,4 %, derrière la Corée du Sud.

Le nombre ne fait toutefois pas nécessairement la force. De récentes publications chinoises montrent que si les brevets explosent en matière d’intelligence artificielle, la qualité et la pertinence des sujets de recherche sont en baisse (évaluée en fonction du taux qui passe réellement en production par la suite). Et rappelons qu’un brevet ne sert qu’à protéger un développement : il n’indique en rien l’éventualité d’une mise en production de ladite innovation.

En tout cas, l’Europe ne veut pas rater son coup : l’Allemagne a été le premier pays à autoriser la conduite autonome de niveau 3 sur route ouverte, à Mercedes.

Source : www.automobile-magazine.fr

28 avril 2022par Manuèle Maniez
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

POLIR SA VOITURE : QUELLE EST LA BONNE MÉTHODE ?

Polir sa voiture consiste a enlever les imperfections de sa carrosserie pour un rendu impeccable. Cependant, il doit être réalisé avec soin.

Le polissage d’un véhicule consiste à éliminer toutes les traces et les rayures superficielles visibles, notamment sur la carrosserie et la peinture. Ces imperfections sont dues le plus souvent au passage d’un chiffon ou d’une éponge lors du nettoyage. Pour les enlever, il faut donc polir la surface du véhicule à l’aide de produits abrasifs et de mousses spéciales communément appelées pads. Il est également possible de polir d’autres parties du véhicule comme les clignotants, les phares, etc.

 

POUR POLIR, IL FAUT ÊTRE ÉQUIPÉ DES BONS OUTILS

Même s’il vaut mieux confier le polissage de son véhicule à un professionnel, vous pouvez polir vous-même votre voiture, à condition d’être bien équipé. Voici l’arsenal qu’il vous faut : une machine à polir (polisseuse), un disque de rotation, des éponges, des gants, un produit à polir (polish), une raclette et un seau d’eau.

QUELLES SONT LES ÉTAPES POUR POLIR SON VÉHICULE ?

Polir sa voiture n’est pas très compliqué, mais peut devenir long et fastidieux. La première étape est de shampooiner la carrosserie. Cette étape se fait manuellement. Il faut éviter à tout prix les lavages automatiques, ils engendreront d’avantages de rayures et donc plus de travail.

Ne faites pas de mouvements brusques, pour ne pas abîmer la peinture. Ensuite, il faut décontaminer la voiture pour enlever les impuretés. C’est n’est qu’après que vous pourrez prendre la polisseuse pour retirer les imperfections et faire disparaître les rayures.

IL FAUT LUSTRER APRÈS LE POLISSAGE

Une fois l’intervention terminée, il est conseillé de lustrer son véhicule. Cette intervention est essentielle pour assurer la longévité de la peinture d’un véhicule. Autre option, il est aussi conseillé d’appliquer de la cire de protection pour avoir un effet de brillance particulier.

Si jamais vous n’êtes pas sûr de vous, vous pouvez toujours regarder faire Louis de Funès, dans cette scène du Corniaud. Sinon, il ne vous reste plus qu’à mettre un petit coup de polish !

Source : www.autojournal.fr

27 avril 2022par Manuèle Maniez
Page 20 of 50« First...10«19202122»304050...Last »

Rechercher

ARTICLES POPULAIRES

Cupra Leon (2024) et Born (2025). Un nouveau visage 100 % Cupra !

Cupra Leon (2024) et Born (2025). Un nouveau visage 100 % Cupra !

Voiture en papier : plus de 100 modèles à assembler pendant le confinement

Volkswagen ID.1 : la citadine électrique pas avant 2025 ?

J-1 avant nos journées portes ouvertes

Catégories

  • CHEZ CUPRA
  • CHEZ SEAT
  • CHEZ SKODA
  • CHEZ VOLKSWAGEN
  • CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

ABONNEZ-VOUS A NOTRE NEWSLETTER

ARTICLES RÉCENTS

Cupra Leon (2024) et Born (2025). Un nouveau visage 100 % Cupra !

Cupra Leon (2024) et Born (2025). Un nouveau visage 100 % Cupra !

Vous avez peut-être participé à la conception du design de cette future voiture

Vous avez peut-être participé à la conception du design de cette future voiture

Škoda Kamiq et Scala restylés : double restylage pour le SUV compact et la compacte

Škoda Kamiq et Scala restylés : double restylage pour le SUV compact et la compacte

ŠKODA PROFITE DU TOUR DE FRANCE POUR PRÉSENTER LA FUTURE SUPERB

ŠKODA PROFITE DU TOUR DE FRANCE POUR PRÉSENTER LA FUTURE SUPERB

RECHERCHER


© 2020 Fiat blog by Tressol-Chabrier