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SEAT MÓ étend ses services de mobilité à toute l’Espagne, et plus particulièrement le long de la Méditerranée

Division de l’entreprise qui est intégralement dédiée au développement de produits et de services de mobilité urbaine, SEAT MÓ étend son portefeuille de services dans toute l’Espagne afin de promouvoir des déplacements plus durables pendant la période des vacances. Suite au succès rencontré par le service de partage dans la ville de Barcelone, l’entreprise s’engage à étendre les services de location à d’autres municipalités telles que Minorque, Majorque, Valence, Algeciras et Tarifa.

Ce déploiement revêtira un caractère tout particulier sur l’île des Baléares de Minorque, où les clients pourront découvrir l’intégralité de la solution de mobilité de SEAT MÓ. Et notamment les trottinettes électriques eKickScooters, les scooters électriques eScooters, des voitures 100 % électriques et même un service de location de bateaux 100 % électriques. Le tout via l’application SEAT MÓtosharing ou directement sur le site web de SEAT MÓ.

À propos de ce plan de développement, Lucas Casasnovas, Directeur de SEAT MÓ, a déclaré : “SEAT MÓ est née pour fournir de nouveaux produits et services de mobilité 100 % électriques, sans bruit ni émission, qui sont agréables à conduire et à utiliser, mais aussi abordables et accessibles à tous. Nous avons commencé notre activité à Barcelone avec le service de partage de scooters électriques, et nous étendons maintenant notre vision au corridor méditerranéen. Les utilisateurs de nos produits et services peuvent contribuer à des déplacements plus propres et plus durables pendant la saison estivale.”

SEAT MÓ déploie tout son potentiel à Minorque, où les utilisateurs de l’application SEAT MÓ peuvent louer différents types de véhicules tels que des trottinettes, des scooters et des voitures mais aussi des bateaux, le tout avec des motorisations strictement électriques. Ces derniers sont amarrés près des hôtels Artiem, l’un des principaux partenaires de la marque sur l’île. Les utilisateurs pourront louer les véhicules pendant plusieurs jours ou plusieurs semaines – contrairement aux précédents lancements de SEAT MÓ qui se limitaient au paiement à la minute – ce qui leur permettra de découvrir l’île des Baléares.

Grâce à la collaboration de SEAT MÓ avec Rebot Yachts, les clients de Minorque pourront louer des bateaux 100 % électriques au port de Mahon. Le constructeur naval a pour objectif d’électrifier des bateaux traditionnels, en utilisant le même système de batterie que les scooters MÓ 125. Grâce à une autonomie d’environ huit heures, les clients pourront parcourir sereinement le littoral de l’île sans même détenir le permis bateau.

En plus du lancement à Minorque, SEAT MÓ étend ses services de location urbaine à d’autres régions et villes espagnoles en mettant à disposition des scooters MÓ125. L’application de mobilité permettra désormais aux utilisateurs de louer les scooters électriques à Inca et Palma (Majorque), Valence, Sitges (Barcelone), Tarifa et Algeciras (Cadix). SEAT MÓ démontre ainsi son engagement à proposer une mobilité propre en Espagne.

Par ailleurs, SEAT MÓ a également lancé la première flotte de scooters 100 % électrique de location en collaboration avec la société Avis. Ainsi, les scooters MÓ 125 eScooters sont désormais disponibles à Denia, Cartagena et Marbella/Sotogrande.

D’autre part, cette expansion en pleine période de vacances coïncidera avec le lancement de la campagne estivale “Mediterranean Mojo“de la marque. Celle-ci relate une histoire irrévérencieuse d’amours de vacances via les produits et services de SEAT MÓ. Elle sera diffusée sur différentes plateformes telles que TikTok, Instagram et YouTube. Le développement durable est au cœur de la campagne, qui a été tournée sur place à Minorque par The Production Club, une société de production basée à Barcelone et engagée dans la neutralité carbone. Outre le célèbre TikToker @emmageikie_, la campagne fait également appel à la collaboration de plusieurs entreprises et start-ups locales, qui sont toutes reconnues pour leurs efforts en faveur du développement durable.

Enfin, SEAT MÓ lancera son tout nouveau site web seatmo.com au cours de la première semaine d’août. Celui-ci sera axé sur le client et intègrera tous les produits et services de l’entreprise.

Source : https://cutt.ly/KZMJblM

9 août 2022 par Candice Bayol

CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Coffre de voiture bondé : dans quels cas risque-t-on une amende ?

Votre voiture est chargée sur la route des vacances ? Prenez garde : dans certains cas, vous risquez une amende. Voici les limites qu’il ne faut pas dépasser.

Partir en vacances en voiture, c’est tout de même bien pratique : pas de galère à l’aéroport, pas de foule sur le quai de la gare… Et de la place pour entasser nos affaires. Justement, ce confort nous pousse souvent à emporter avec nous plus de choses que nécessaire… Jusqu’à s’adonner à un véritable jeu de tetris dans le coffre du véhicule pour placer nos valises, sacs et autres glacières.

Cependant, beaucoup l’ignorent, mais le chargement d’une voiture est, lui aussi, réglementé par le code de la route.

Un habitacle ou un coffre trop encombré, et vous pouvez faire l’objet d’une amende salée.

En premier lieu, l’article R.312-19 du Code de la route précise : « toutes précautions utiles doivent être prises pour que le chargement d’un véhicule ne puisse être une cause de dommage ou de danger« .

Ne placez donc pas vos bagages devant une fenêtre, ou un pare-brise, de même qu’il vous faut éviter les objets pouvant “voler” lors d’un freinage brusque.

Si vous ne respectez pas cette consigne, vous vous exposez à une amende forfaitaire de 68€, précise l’Indépendant.

Chargement de la voiture : les 3 cas où vous risquez une amende de 135€

Mais ça n’est pas tout.

La taille de votre chargement doit en effet respecter quelques limites. A ce titre, une voiture ne peut circuler avec un “poiids total réel qui excède le poids total autorisé en charge, indiqué sur la carte grise”, affirme preventionroutiere.asso.fr.

Par ailleurs :

La largeur de votre chargement ne doit pas dépasser 2,55 mètres

Le chargement à l’arrière ne doit pas dépasser de plus de 3 mètres l’extrémité de votre véhicule

Le chargement à l’avant ne doit pas dépasser l’aplomb antérieur du véhicule.

Si l’une ou plusieurs de ces trois limites ne sont pas respectées, vous risquez une amende forfaitaire de 135 €

Si vous avez l’habitude de rajouter un coffre de toit, ou une remorque à votre voiture lorsque vous partez en vacances, vérifiez bien que la pièce respecte les dimensions autorisées, et qu’elle soit bien fixée.

Source : https://www.planet.fr

3 août 2022 par Flora Lemble

CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

La majorité des acheteurs de voiture électrique n’ont pas pour ambition de sauver le monde

Une étude américaine montre que l’écologie n’est pas au centre des priorités pour les achats de voitures électriques. D’autres raisons ont la priorité sur l’environnement.

La voiture électrique est, avant toute autre chose, un moyen de réduire la pollution du parc automobile mondial. C’est évidemment la première raison pour laquelle les gouvernements vont forcer son adoption. Cependant, tous les automobilistes ne sont pas convaincus par cet argument.

Le constructeur Polestar a ainsi effectué un sondage aux États-Unis pour savoir ce qui poussait les gens à l’adopter. La firme suédoise a interrogé 5 086 conducteurs au sujet de leur voiture électrique et des raisons de son achat.

Le résultat montre que 55 % d’entre eux n’avaient pas l’écologie en tête au moment de leur choix, ce qui fait sans surprise écho à ce qui était pressenti dans un précédent édito. Néanmoins, ce chiffre varie selon les âges des sondés, et cet argument ressort davantage chez les 18-24 ans.

Parmi les autres arguments, 48 % ont cité la réduction des coûts pour le poste de dépense qu’est le véhicule. La performance est un argument pour 30 % des automobilistes, ce qui explique la course à la puissance de certains véhicules « zéro émission ».

Un besoin de connectivité et de technologie

Enfin, 40 % ont cité l’envie d’avoir un système d’infodivertissement moderne, et une meilleure connectivité. C’est d’ailleurs ce qui motive l’adoption d’Android Automotive chez Polestar, ainsi que le soin qu’apporte la marque à son environnement à bord.

« L’idée du luxe dépendant de ce qui est “sous le capot” laisse sa place dans l’ère électrique à une priorisation d’une connectivité fluide, d’une intégration dans les écosystèmes numériques existants, et d’un bon design de système numérique », explique Gregor Hembrough, directeur Amérique du Nord de Polestar.

« Les gens passent aux voitures électriques pour plus que des raisons environnementales. L’effort de Polestar sur les technologies embarquées signifie qu’ils peuvent avoir tout ce qu’ils veulent dans une enveloppe respectueuse de l’environnement. »

Source : https://www.automobile-propre.com

3 août 2022 par Flora Lemble

CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

On a testé le pneu sans air : révolution ou fausse bonne idée ?

Imaginez un pneu sans entretien ni risque de crevaison. Le rêve pour beaucoup ! Cette technologie existe déjà, mais cela ne veut pas dire qu’elle est adaptée à nos voitures. Démonstration avec un prototype Goodyear.

On a tendance à l’oublier, mais les pneumatiques sont essentiels pour notre sécurité car ils sont les seuls points de contact entre une voiture et la route. Ces composés de gomme, qui représentent au sol tout juste la surface de quatre mains, doivent donc être régulièrement entretenus, au grand dam des conducteurs et conductrices. Qui n’a jamais râlé de se salir les mains quand il faut dévisser un bouchon de valve souillé ? Ou pesté contre ce gonfleur de station-service aux indications aléatoires, quand il n’est pas en panne ? Sans oublier ceux qui ont eu la douloureuse expérience d’une crevaison, laquelle arrive toujours quand il ne faut pas et entraîne parfois le couteux remplacement des deux pneus de l’essieu ! Pas étonnant que tous les manufacturiers (Michelin, Bridgestone, Continental, Goodyear…) travaillent donc d’arrache-pied à concevoir un pneu increvable, bien que l’on attende toujours de le voir arriver sur le marché.

Une structure faite de lamelles en composite

En exclusivité, Goodyear nous a convié à essayer sur son circuit du Luxembourg sa technologie baptisée de façon provisoire NPT (Non Pneumatic Tyre), soit « pneu non pneumatique » puisqu’il ne comporte pas d’air. Comme vous pouvez le voir sur les images, ce pneu est creux, sans flancs, permettant de voir ce qui remplace l’air pour supporter la charge verticale que constitue le poids de la voiture. Comme tous les autres fabricants de pneus, Goodyear utilise des lamelles en matériaux composite plus ou moins rigides, lesquelles sont installées en biais et entrecroisées pour à la fois supporter le poids et assurer un minimum de confort en absorbant les défauts de la route. La roue est donc composée d’une jante autour de laquelle est collé cette entretoise composée des lamelles porteuses, puis d’une bande de roulement, elle aussi collée et chargée d’assurer le contact avec l’asphalte. Michael Rachita, le directeur de projet américain de ce pneu sans air me précise, juste avant que je prenne le volant, que des essais d’endurance ont été faits sur plusieurs milliers de kilomètres pour vérifier le bon vieillissement de ces organes ainsi que de leur collage. Le tout avec des phases longues de 24h non-stop à 120 km/h, puis des phases d’une heure et demie, à 140 km/h, 150 km/h et 160 km/h.

t, nous avons appris que la masse d’une telle roue est presque 50% plus élevée que celle d’une roue complète classique. Même si des progrès sont attendus pour la prochaine évolution, cette technologie devrait encore rester environ 30% plus lourde concernant les masses non suspendues, lesquelles compliquent les réglages de suspension, et dégradent autant le confort que l’efficacité sur route dégradée. Autre souci majeur, la résistance au roulement du pneu sans air, déformation des lamelles oblige, est à peu près deux fois plus élevée que celle d’un pneu classique. Totalement inacceptable de nos jours, tant les consommations sont impactées par ce critère. Enfin, le coût de ce NPT est sensiblement supérieur à celui de nos pneus actuels.

D’autres secteurs peuvent en profiter

Vous l’aurez compris, ce pneu increvable et sans entretien restera encore pour longtemps un fantasme d’automobiliste. D’ailleurs, Michael Rachita confirme que cette technologie est déjà commercialisée sur des engins de levage (chariots élévateurs…), de génie civil, ou pour des engins de mines. Viable, car se sont des véhicules roulant à faible vitesse sur des sols potentiellement agressifs, et transportant de fortes charges. L’objectif avoué n’est pas de cibler les voitures particulières mais plutôt de viser, à l’horizon 2030, des flottes opérant sur de courtes distances (bus, camion de livraison du dernier kilomètre, robots-taxis, nouvelles mobilités en libre-usage…) aux exigences de confort et efficacité moindres, mais ayant besoin de s’affranchir totalement de la maintenance des pneumatiques. Plus improbable mais pas moins intéressant, Goodyear travaille aussi sur une version de son pneu sans air qui sera utilisé pour le projet Artemis de la Nasa, sur la lune ! La conception de ce véhicule lunaire est menée en partenariat avec Lockheed Martin. Mais si l’espace peut convenir à ces pneus nouvelles génération, il n’est décidemment pas facile de remplacer l’air par quelque chose d’aussi léger, gratuit, silencieux et élastique une fois de retour sur terre !

Source : https://www.automobile-magazine.fr

3 août 2022 par Flora Lemble