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Voiture électrique : voici des batteries plus performantes grâce à une nouvelle molécule

Des voitures électriques avec une autonomie identique à celles fonctionnant avec des carburants fossiles, est-ce possible ? Oui, pour les chercheurs du centre pour les technologies énergétiques propres de l’Université de Technologie de Sydney. Ils viennent de publier, dans la revue Science Advances, les résultats de leurs travaux sur la mise au point d’une molécule appelée PDI-TEMPO capable d’améliorer les performances des batteries lithium-oxygène destinées aux véhicules électriques.

Voiture électrique : des batteries qui existent depuis presque 50 ans

La batterie lithium-oxygène n’est pas vraiment nouvelle puisqu’elle a été conçue dans les années 1970 pour le secteur automobile afin de trouver une solution innovante à la crise pétrolière. Dès 1973 aux États-Unis, à la suite du pic de production du pétrole qui entraina une forte dévaluation du dollar, le prix du baril de pétrole connut une envolée spectaculaire qui poussa les recherches vers d’autres sources d’énergie

>> Lire aussi : Quel est le bilan écologique d’une voiture électrique ?

Cependant, les performances de ces batteries n’étaient pas à la hauteur et elles tombèrent quelque peu en désuétude. Elles connurent un nouveau regain d’intérêt au début des années 2000 grâce à de nouvelles avancées technologiques et face au besoin de trouver des alternatives aux énergies fossiles.

Mais ce type de batteries est souvent confronté à de nombreux problèmes. Par exemple, le peroxyde de lithium est un composé qui se forme dans certains types de batteries lithium-oxygène. Malheureusement, ce composé s’accumule sur la cathode de la batterie en bouchant ses pores petit à petit. Après quelques cycles de recharge et décharge seulement, la batterie finit par perdre en performance.

Les batteries lithium-oxygène sont évidemment intéressantes pour le secteur automobile afin d’améliorer l’autonomie des véhicules électriques. Mais d’autres secteurs utilisant des accumulateurs électriques pourraient profiter des avancées technologiques comme celle des chercheurs de l’UTS de Sydney en Australie. Citons, par exemple, les vélos à assistance électrique, mais aussi tous les appareils électroniques qui fonctionnent grâce à des batteries rechargeables.

>> Lire aussi : Cette batterie inspire et expire de l’oxygène

Fonctionnement d’une batterie qui utilise de l’oxygène

Ces nouvelles batteries pourront peut-être un jour intégrer nos appareils électroniques portables pour une plus grande autonomie
© Shutterstock

Ces nouvelles batteries pourront peut-être un jour intégrer nos appareils électroniques portables pour une plus grande autonomie.

Une voiture électrique qui utilise des batteries lithium-oxygène fonctionne avant tout grâce à un système qui produit de l’électricité. Elle est constituée des éléments suivants : des électrodes, dont l’une, l’anode ou électrode négative est constituée de lithium, et l’autre, la cathode ou électrode positive est composée de graphite. Un électrolyte baigne les électrodes et assure une libre circulation des électrons et des ions et donc de l’électricité.

Lors de la décharge de la batterie, les atomes de lithium larguent des électrons et deviennent des ions lithium positifs. Ces ions positifs circulent au travers de l’électrolyte et se dirigent vers l’électrode positive où ils réagissent avec l’oxygène de l’air en captant un électron pour former de l’oxyde de lithium qui s’accumule sur la cathode en graphite.

Lors de la charge de la batterie, c’est le phénomène inverse qui se met en place. L’oxyde de lithium (Li2O2) relâche des électrons en produisant de l’oxygène ainsi que des ions lithium positifs. Ces ions lithium traversent l’électrolyte et réagissent avec l’électrode négative pour former du lithium métallique en « attrapant » des électrons.

Ces batteries promettent de fournir une énergie de 5 à 15 fois supérieure aux batteries lithium-ion et pourraient, en théorie, stocker jusqu’à 3,5 kWh/kg au maximum. Pourtant, jusqu’à présent, ces batteries lithium-air ou lithium-oxygène ont connu de nombreux problèmes comme une faible capacité de décharge, un mauvais rendement énergétique et des réactions parasites pouvant à la longue altérer fortement leur fonctionnement.

Les chercheurs de l’UTS ont conçu une technologie de pointe permettant de résoudre ces obstacles en offrant la possibilité de créer des batteries lithium-oxygène qui durent très longtemps et qui possèdent une grande densité énergétique.

>> Lire aussi : Les voitures électriques sont nettement moins polluantes selon une nouvelle étude

Une nouvelle molécule synthétique « tout-en-un » qui bloque les réactions parasites

Les scientifiques australiens ont créé une molécule sur mesure qui agit comme un médiateur redox en agissant comme un catalyseur des réactions de décharge et de charge. Cette molécule complexe que les chercheurs ont nommée PDI-TEMPO est constituée d’un radical superoxyde relié à un squelette de pérylène diimide.

Cette molécule tout-en-un peut supprimer les réactions parasites relatives aux radicaux superoxydes qui ont jusque maintenant la fâcheuse habitude de boucher les pores de la cathode de la batterie et permet aussi de limiter les traces d’oxygène « singulet » qui est un état instable de l’oxygène qui se forme notamment dans la réaction de l’eau oxygénée mélangée à l’eau de javel. Enfin, la molécule PDI-TEMPO permet de lutter contre les problèmes de surtension au sein de la batterie et d’éviter la corrosion du lithium métallique.

Cette nouvelle batterie lithium-oxygène qui utilise la molécule PDI-TEMPO présente une capacité de décharge multipliée par 46, un surpotentiel de charge de 0,7 v et une très longue durée de vie qui va bien au-delà de 1500 cycles.

Ce nouveau type de batterie lithium-oxygène va améliorer de manière considérable les performances des véhicules électriques, surtout en termes d’autonomie et de durabilité. Il s’agit sans nul doute d’un grand bond en avant pour l’industrie en plein essor de la propulsion électrique.

> Lire aussi : Avec la superabsorption, les batteries quantiques sont de l’ordre du possible

Source : www.science-et-vie.com

2 mars 2022par Manuèle Maniez
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Voiture électrique : des batteries avec 1 000 km d’autonomie dès 2024 ?

Envision AESC Group, producteur chinois de batteries, prévoit de fabriquer des batteries pour véhicules permettant une autonomie jusqu’à 1 000 km, et ce dès 2024.

En matière d’autonomie en tout-électrique dans nos véhicules de demain, c’est parfois comme une surenchère. C’est ainsi à celui qui donnera le chiffre le plus excitant, pas toujours le plus crédible. Toujours est-il que le producteur chinois de batteries Envision AESC Group (qui va installer une gigafactory à Douai afin d’équiper de ses batteries certains modèles électriques de Renault dont la prochaine Renault 5), a annoncé ces derniers jours qu’il serait en mesure, dès 2024, de fabriquer des batteries pour véhicules électriques (lesquels ?), capables d’une autonomie de minimum 1 000 km ! Pour situer ce que cela signifie, il faut savoir que pour pouvoir annoncer une autonomie de 1 000 km sur le cycle WLTP, il faut une batterie d’au moins 150 kWh, alors que la plus grosse batterie automobile actuelle, celle de la Mercedes EQS, plafonne à 107 kWh. Et qu’une batterie de 150 kWh pèserait autour de 1 000 kg et serait énorme. Le premier défi consiste donc non pas à fabriquer une batterie de 150 kWh, ce qui n’est pas un gros défi technologique, mais à arriver à la loger dans une auto de taille normale, laquelle doit aussi être capable d’accepter cette tonne d’accumulateur !

La conquête

Par ailleurs, Envision, septième fournisseur de batteries dans le monde en termes de volume d’expédition en 2020, qui fournit à ce jour principalement ses batteries lithium-ion pour Nissan (qui détient 20% d’Envision) et son modèle Leaf, travaillerait également à améliorer l’efficience du stockage afin de réduire les temps de charge d’environ 30 %, soit un passage sous les 20 minutes. Une annonce qui signifie aussi, pour charger aussi vite un accumulateur, disposer d’une puissance de charge très élevée. Car charger une batterie de 150 kWh à 80% en moins de 20 mn signifie dépasser les 350 kW de puissance pour la borne, ce qui n’existe pas à ce jour.

Prudence est mère de sûreté

Et encore faudrait-il que la batterie accepte cette puissance très élevée tout au long de ses 80% de charge. Or aujourd’hui, la voiture la plus performante en terme de vitesse de charge – la Porsche Taycan – accepte au maximum 270 kW entre 5 et 45% de sa capacité. Ensuite la puissance de charge baisse graduellement pour éviter d’endommager la batterie. Pour arriver au résultat avancé, Envision a donc de gros défis devant lui, ce qui incite à la prudence avant de s’enthousiasmer.

Le média nippon Nikkei Asia, rapporte par ailleurs que pour produire ces nouvelles batteries, Envision va établir une nouvelle usine près de Tokyo, un site de production uniquement alimenté par des panneaux solaires et donc annoncé sans aucune émission de CO2. Avec ses nouvelles batteries, Envision ambitionne de partir en conquête de nouveaux clients jusqu’à représenter environ 50 % de ses transactions globales dès 2025.

Source : www.automobile-magazine.fr

2 mars 2022par Manuèle Maniez
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La conduite « sans les mains » bientôt autorisée en France

Plusieurs pays d’Europe, dont la France, vont augmenter d’un niveau la conduite autonome légale. Le niveau 3 permet de ne plus avoir à garder les mains sur le volant.

On définit cinq niveaux de conduite autonome, allant de quelques systèmes adaptatifs à la possibilité de rouler sans conducteur. En France, c’est actuellement le niveau 2 qu’autorise la loi. Celui-ci permet notamment d’utiliser un régulateur adaptatif et une aide au maintien dans la voie. En revanche, il ne permet à aucun moment de lâcher le volant des mains. Les véhicules doivent d’ailleurs rappeler au conducteur ou à la conductrice de le tenir.

Mais cela va changer dès le 14 juillet 2022, avec l’autorisation d’utiliser un niveau 3 de conduite autonome dans l’Hexagone. Ainsi, le contrôle humain permanent ne sera plus obligatoire, dans certaines circonstances évidemment.

La législation autour du niveau 3 d’autonomie stipule que le conducteur n’a pas obligation de tenir le volant. En revanche, il doit être prêt à le reprendre dès que le véhicule le lui demande. Une demande qui va aussi dans l’autre sens, puisque le système doit pouvoir s’arrêter et effectuer une manœuvre d’urgence tout seul.

Pour activer ce niveau 3, il faudra par ailleurs qu’il n’y ait pas de piétons ou de cyclistes sur la même voie que la voiture. Il faudra également une séparation centrale entre les sens de circulation. Enfin, la vitesse ne devra pas dépasser 60 km/h, même si cette limite pourrait vite évoluer.

Source : www.automobile-propre.com

2 mars 2022par Manuèle Maniez
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Tente de toit gonflable Quechua. Le plus abordable des camping-cars !

Avec la pandémie, l’engouement pour les camping-cars et vans s’est accéléré. Mais si ces véhicules demeurent trop onéreux, Decathlon propose une tente de toit Quechua au prix de 590 € et serait en pourparlers avec Dacia.

Vous rêvez d’un van aménagé ou d’un camping-car, mais votre banquier n’est pas du même avis ? Il existe une alternative certes moins confortable, mais nettement plus abordable : la tente de toit. Depuis quelque temps, la marque Quechua de Decathlon propose même un modèle baptisé « Van 500 Fresh & Black » au prix très attractif de 590 €. On est loin des 1 549 € minimum demandés par l’italien Autohome, qui équipe notamment la Mini Countryman. En prime, ici, fini la corvée de montage, parfois fastidieuse. Comme le matelas qui est fourni avec, la tente de toit Quechua est en effet gonflable. Une solution dont le constructeur est devenu l’un des spécialistes. Pour faire prendre forme rapidement à votre abri d’un soir, il suffira donc d’une pompe. Attention toutefois : cette dernière n’est pas incluse dans le prix. Il faudra donc penser à l’acheter pour éviter de dormir à la belle étoile.

 

 

Pour les vans… en attendant les voitures ?

L’ensemble, qui pèse un peu plus de 16 kg hors échelle, est conçu pour être transporté directement dans l’habitacle. Grâce à un système d’attaches, la tente n’a pas besoin de barres de toit pour être installée et peut résister à des vents allant jusqu’à 60 km/h. Sa structure intègre deux boudins pour protéger la carrosserie, ainsi qu’un sommier à lattes en bois pour plus de confort. Le pack comprend également un Tarp, sorte d’auvent pour manger à l’abri des intempéries ou du soleil, deux kits de réparation de matelas, ainsi qu’une échelle afin que vous puissiez monter vous coucher en toute sécurité.

tente de toit quechua montage
Le constructeur annonce un temps d’installation et de démontage d’environ 10 minutes grâce à une structure gonflable.
tente de toit quechua auvent
Le pack comprend également un Tarp, sorte d’auvent, ainsi que les mât, haubans et sardines pour le fixer.

Un accessoire d’autant plus indispensable que cette tente est conçue pour être installée sur des fourgons déjà hauts et imposants, tels que les Renault Trafic, Volkswagen Transporter ou Ford Transit. Voilà qui risque d’en refroidir plus d’un. Mais il ne serait pas étonnant que Quechua propose plus tard un modèle adapté à des voitures particulières plus compactes. Après le Dokker de l’équipementier espagnol Camperiz, on verrait bien une telle tente « low cost » sur le toit du nouveau crossover Dacia Jogger par exemple ! Surtout que la Van 500 Fresh & Black arbore un vert évoquant beaucoup la nouvelle identité de la marque roumaine, désormais très portée sur les loisirs de plein air. Selon nos informations, les deux sociétés étudieraient un partenariat.

 

mini autohome
L’équipementier italien Autohome propose une vaste gamme de tentes de toit, notamment pour la Mini Countryman. Mais aucun de ses modèles ne passe sous la barre des 1 500 €.
dacia dokker tente de toit
Le Dacia Dokker Van de l’entreprise espagnole Camperiz peut recevoir une tente de toit moyennant pas moins de 2 635 €. On n’est plus vraiment dans le « low cost » !

Source : www.largus.fr

22 février 2022par Manuèle Maniez
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